NOTRE NOUVELLE TERRE
02/04/2020
Chaque jour comme le premier,
Vivre en osmose avec Gaïa,
Oser respirer l'air pur,
Écouter le vent qui chantent dans les feuilles
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avril, 2 2020,jeudi
Par morgan arnaud le avril, 2 2020,jeudi, 00:00
Chaque jour comme le premier,
Vivre en osmose avec Gaïa,
Oser respirer l'air pur,
Écouter le vent qui chantent dans les feuilles
novembre,27 2017,lundi
Par morgan arnaud le novembre,27 2017,lundi, 00:00
Ami automne, raconte-moi une histoire :
Au sommet d'un arbre,
Je regarde le ciel s'obscurcir,
Les jours rapetissent tout doucement,
octobre,28 2016,vendredi
Par morgan arnaud le octobre,28 2016,vendredi, 00:00
Dans un soleil vermeil, inondé de lumière,
La cime des arbres rejoint le ciel pour rêver,
L'automne a revêtu son équinoxe,
Paré de couleurs uniques et chatoyantes,
juillet, 1 2015,mercredi
Par morgan arnaud le juillet, 1 2015,mercredi, 00:00
Au cœur de l’été, les cigales chantent,
Les coquelicots rougissent et éclosent,
La lavande embaume les jardins,
La menthe envahit les narines et les papilles
septembre, 4 2014,jeudi
Par morgan arnaud le septembre, 4 2014,jeudi, 00:00
Aux sources de l’univers,
Les méandres d’une terre brûlée,
Les veines d’une planète verte et bleue,
Le cœur battant d’un monde endormi.
avril,21 2009,mardi
Par morgan arnaud le avril,21 2009,mardi, 00:00
Un monde étrange au cœur battant si fort,
Le soleil éclaire l’univers de ses rayons,
La majesté des hivers fébriles dans l’ombre,
Ses dégradés de blancs si purs et si merveilleux
mars,11 2008,mardi
Par morgan arnaud le mars,11 2008,mardi, 00:00
Au rythme des nuages, l’aube s’est envolée,
Comme une oie sauvage, dans le firmament,
Le murmure des ombres danse dans l’éternité,
Comme une voie se dessine sous les oliviers
février,22 2007,jeudi
Par morgan arnaud le février,22 2007,jeudi, 00:00
Au creux des vagues, l’écume a roulé ses vagues,
La mer a meurtri les grains de sable blanc,
La plage souffre sous les pas des promeneurs,
Le temps s’enfuit en quête d’un monde sans souci
Par morgan arnaud le février,22 2007,jeudi, 00:00
Dans les éternelles neiges, l’être sent les flocons,
Sur sa tête, ils tombent en points blancs,
Comme l’hiver, ils nous éclairent les yeux,
La folie qui égrène les joies d’enfants.
août,28 2006,lundi
Par morgan arnaud le août,28 2006,lundi, 00:00
L’hiver court après les flocons de neige,
Le cercle polaire souffle dans les cous frigorifiés,
Le cœur allume une flamme pour se réchauffer,
La terre craquelle sous le givre et se protège
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